13 commentaires sur « Silence… »

  1. humm.. il n’est pourtant pas loin, juste là derrière la motte à portée de main, aussi l’opératrice s’en prive, alors d’offrir à qqls dents-de-lion, majestueuses sans peine, ces p’tites princesses !
    ou est-ce des pâquerettes géantes des prés (aux Praz de Lys ?)
    et ce fouillis d’aigrettes, ..en l’anarchie du rets d’un arachnide ?
    ou la soit-disant mauvaise herbe, Qué la mal embouchée ? non ne se goure pas d’endroit, sûrement même s’en gausse.. héhé.. tant elle copine avec le contre jour !
    et ces akènes, graines tête en l’air, ..tel un lémurien très ‘armé’,
    ‘tit bout de marabout, évident profane ni tabou, tout en humeur sitôt tout exposé, ..qu’il chérit tant il s’adresse à son vénérable, ..oui lui, le tzar intangible !
    ..qui ça ? où ça ?

    Le Soleil !

    ..illumine… no fanatisme, mystique inutile, Dieu des mythes, de l’espace et du temps,
    jusqu’aux désinvoltes ramilles (l’astre carrément pas bégueule !) extatiques serait exagéré,
    aussi en ce jour, se fichent de couleur car rassasiées de lumière,
    – « chouettes brindilles ! » pour l’œuvre intitulée, non.., puisque oublieux de l’iconoclaste étoile filante, ersatz concurrente (en bas à gauche !) et même Camille, Camilys.. estimons qql allégorie pragmatique (permettons de temps en temps) tu as bien une étiquette.. (alors) fixe un prix !

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    1. Voilà : tout pareil !
      C’est très joli, ce que ma photo t’inspire, et je suis très fière de provoquer cette emphase…
      Camilys, une allégorie pragmatique ? J’adore l’idée mais tu me surestime ! Un prix ?? Heu… 😮
      Merci, Ti Suisse, en tout cas, ton attention est flatteuse.

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      1. chère Camille, (juste, rien que) l’envie de balayer ton ‘hésitation’
        qql descriptif, évocation ‘évidente’, aussi: l’amour (aimer) a t-il besoin de raison ?

        et de (te) glisser un conseil, oh une toute p’tite piécette de rien du tout, une paire de centimes.. alors déjà le désavouer (conseilleur.. pas mon kiffe, je suis bien trop économe ! et, la contradiction est-elle si humaine ?) plutôt te suggérer, ..ainsi te causer pognon.
        Crois (en) mon expérience.. la ‘bienveillante’ gratuité proposée, -ouiz, le départ d’un si bon sentiment, et bien que tu n’en attendes rien (évidemment! rien-demandé, ..héhé)
        tu recevras (aïe) à la place qql désaveu, un déni sur/pour la ‘qualité’ de ton image.. hein c’est dégueu, tiens, tente un: « le prix ? ..c’est 100 mille » oh tu la vendras probablement pas (zut!) mais dans l’œil de l’ex dilettante, qql ‘reconnaissance’ ! /bien sûr, je pense à p’tit loustic et sa note de 92/100,
        perso? je serais riche Et reconnu ! (mais) ‘généreux’ est si bon pour l’âme !
        Moralité: Cheers !

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      2. ah vi.. la ‘poésie’ en gnl évite le fric (et/alors qql pragmatisme) iconoclaste, déjà dit..
        comment ‘estimer’ ta foto (?!) ..une étiquette et qql zéro !
        (Camilys, ton nom d’artiste ?) j’oubliais le principal.. j’aime bcp ton image !

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        1. Vendre mes photos ? Ben v’là aut’choz !
          Camilys mon « nom d’artiste » ? Ah… je n’y avais pas songé. Mais pourquoi pas !
          Tu aimes beaucoup mon image ? Quel plaisir à lire !
          Écoute… heu, bon… et bien, disons que… je laisse l’idée faire son chemin. J’en connais un qui a mis quelques années à me convaincre que mes écrits pourraient bien plaire à d’autres que lui, alors… Je suis une lente pour l’estime de moi-même, mais je me soigne, et ce blog est ma thérapie. Même si je ne suis pas dupe.
          Merci, Ti Suisse, j’espère que tu aimeras les autres clichés que j’envisage de mettre en ligne. Et si tu veux t’amuser à fixer des prix, ça peut être rigolo !

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      3. rien de vénal, commercial, ..l’idée du prix, sinon pour (l’) estimer, mesurer à l’aune de qql reconnaissance, aussi licence et clin d’œil bien sûr ! « Camilys ».. little quiproquo: lu en bas de la foto ! (suis-je sot ?! ..Cami Lyz)

        papa faisait un peu de labo N & B à la casa, à 11 ans j’hérite de son agrandisseur (et un peu de la salle de bain) mon premier patron (foto) à 17 ans, est J Lang (Festival Int. de Théatre, Nancy 1971)
        4-5 ans plus tard, je suis le premier -je crois, assistant de Pat Demarchelier, NY (on était que deux, le studio: 20 m2 ! il venait d’arriver: je faisais aussi traducteur.. hélas!? je ne suis pas resté)
        et ainsi de suite.. ouiz, une grande Aventure !
        elle est ronde.. la Terre, et c’est en couleur !

        ton premier ‘client’, supporteur favori.. ton œil ! aussi l’opérateur de ton instinct,
        ton sujet (image) taquine la dualité (pas dit dualisme) l’usage de tes deux hémisphères ! témoin privilégié de ta sensibilité: équilibrée (la foto, les proportions.. de toi je ne peux préjuger ..héhé) elle est ‘stable’ malgré l’inclinaison, le penchant du végétal ..vers la fuite ? mais d’orgueil, -pas dit vanité, résiste ! résistance,
        (la plante) altière mais sans dédain, elle ‘pousse’ va de l’avant ! (« aller de l’hauteur » ?) l’expression de qql optimisme (demain il fera jour !) pleine l’élan, mais fragile.. la force du contraste ! sereine, ni placide elle (en?) oublie le doute (pfuitt ! au compost) généreuse, -ça se voit ! ni rancunière (ah ?) en tous cas pas dérangée par des aigrettes commensaux ! peut-être est-elle snob..
        le bleu sous le coude (plein!) elle peut entamer sa nuit, ou autre mue,

        ce petit libelle avant/pour la vente ? ..alors de te causer de mon % 😀

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        1. Aucun quiproquo mon cher, j’avais choisi Camilys, clin d’oeil à mes prétentions de romancière, tout en s’en détachant puisque ça n’est pas tout à fait le même mode de com’. J’aime mes pseudos, alors j’en abuse…
          Je comprends à ton pedigree que tu sais de quoi tu causes, et je suis d’autant plus intéressée par ton analyse très intéressante. Tant de choses à dire à partir de ce cliché ? Hum…
          On causera de ton pourcentage, sûr, quand le moment viendra ! 😉

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  2. Plantes maigres z’et hautaines,
    z’aux vies plus qu’incertaines
    réveillez vos capitaines !

    Qu’ils vous poussent au bout de la plaine
    sous l’ciel courant la prétentaine
    arrondissant vos bas de laine !

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      1. Des fois, pas besoin de comprendre pourquoi on aime… juste ressentir. Le cadrage, le mouvement, le titre… Il émane de fort belles choses. Intimes…

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